Penser l’éthique en contextes ne se résume pas à établir la déontologie ou les règles de bonne conduite propres à chaque type d’activité. Il s’agit plutôt, à travers des analyses menées sur des cas concrets, d’éclairer les modalités pratiques de la prise de décision, de proposer des outils nouveaux pour la réflexion et pour l’action.
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19.50€
Les questions liées à la recherche et à l’enseignement en éthique constituent un vaste chantier qui doit être régulièrement réévalué. Dans ce second tome d’un état des lieux de la recherche et de l’enseignement en éthique, sont abordées un certain nombre de questions qui se posent dans le management, les nouvelles technologies, les pratiques sportives, les sciences du vivant, les situations d’injustice dans la vie professionnelle, le problème des migrations et celui de la vulnérabilité d’autrui. L’éthique ici n’est pas conçue uniquement comme une réflexion savante, théorique, intellectuelle, discursive, mais dans une tension entre principes et expériences, entre réflexion et action. La réflexion éthique ne sert pas que de garde-fou à la recherche. Elle doit permettre d’innover en gardant en ligne de mire le mieux être global de tous : mieux-être physique, psychique et spirituel à titre individuel, et mieux-être au sein de son environnement social à titre collectif. Sous la direction d’Edwige Rude-Antoine et Marc Pievic. Avec des interventions de Bernard Andrieu, Matthieu de Nanteuil, Ghislain Deslandes, Alexeï Grinbaum, Sandrine de Montgolfier, Bernard Reber, Johan Rochel et Philippe Svandra.
23€
La révision imminente de la loi bioéthique ouvre un moment où tout est possible. Écrit par un juriste universitaire spécialisé dans les questions médicales et impliqué dans la pratique quasi quotidienne de l’éthique clinique depuis des années, cet essai éclaire l'urgence éthique qu'imposent certaines situations humaines souvent dramatiques. Face aux questions si complexes qu'elles soulèvent, il convie à abandonner le manteau du péremptoire et à endosser la responsabilité du faire réfléchir. Fin de vie, assistance médicale à la procréation, gestation pour autrui animent le débat public et la controverse. Mais interruptions volontaires de grossesse par exemple pour raisons psychosociales, ou contraception définitive, sont plus méconnues. La volonté est de les sortir de l’obscurité où éthiquement elles se meurent. Le ton de cet essai ne se veut pas revendicatif mais résolument tourné vers la réalité des situations, la confrontation des arguments et les propositions concrètes. Articles de presse Libresens.blogspot.com Jean-Claude Widmann, 20 mai 2019 Libresens.blogspot.com Ouest-france.fr Un savenaisien publie un livre sur la bioéthique, 6 mai 2019 Ouest-france.fr Reiso.org, revue d’information sociale (suisse romande) En France, un virage bioéthique ? Jean Martin, 22 juillet 2019 Reiso.org, revue d’information sociale (suisse romande) Bulletin des médecins suisses 2019;100(34):1138 Jean Martin, 21 août 2019 Interpellant éclairage sur les débats actuels et à venir En France, un virage bioéthique ? Bulletin des médecins suisses philosophie.ch swiss portal for philosophy Jean Martin, 21 août 2019 philosophie.ch CEERE Lettre juillet-août 2019, n° 131 Marie-Jo Thiel, Directrice du CEERE, 1er juillet 2019 CEERE Lettre juillet-août 2019
13€
Qui est l’homme alcoolique ? Il est à « coeur ouvert », un déraciné qui possède en lui la porte qui s’ouvre à ce Monde fraternel et absolu où seuls des êtres animés par le « goût de l’être » et l’« amour » peuvent pénétrer. Dans cet essai écrit à la première personne, l’auteur introduit son lecteur au coeur de l’homme alcoolique et propose une « éthique de l’imprévisibilité » dans laquelle chaque soignant, chaque homme peut être éclairé de l’intérieur et à jamais. Erick Jean-Daniel Singaïny est psychologue clinicien, docteur en psychologie et qualifié aux fonctions de maître de conférences en psychologie. Ce petit ouvrage est le dernier volet d’une réflexion consacrée à l’homme alcoolique et à sa rencontre : le temps, l’événement et ici, l’appel à la transcendance. Articles de presse Le Courrier des addictions (17) n° 4 Patricia Despotis, octobre-novembre-décembre 2015 Le Courrier des addictions
19.95€
« Comment faites-vous pour défendre l’assassin d’un enfant ? » C’est souvent cette question que les avocats pénalistes entendent à propos de leur métier. L’avocat est représenté dans la fiction sous les traits d’un être ambigu, sans cesse sur le fil… La réalité est sans doute tout autre. C’est elle que ce livre tente d’approcher en comblant un manque dans les réflexions contemporaines de l’avocature. Rares sont, en effet, les travaux qui abordent l’éthique de l’avocat pénaliste. Quelles sont ses interrogations, ses incertitudes lorsqu’il est confronté à des choix de défense ? À travers une enquête menée auprès d’avocats, l’auteur s’intéresse aux intentions, aux pratiques quotidiennes effectives et aux enjeux de responsabilité du pénaliste. Comment les mutations juridiques et politiques de la défense pénale orientent les valeurs de l’avocat et sa manière d’agir ? Par-delà la dimension déontologique de son métier, quelles relations d’ordre éthique l’avocat entretient-il avec lui-même mais aussi avec l’autre, son client, qu’il soit prévenu, accusé ou victime, les jurés, les magistrats ? Peut-on parler du rapport de l’avocat à la vérité ? Cette vérité est-elle spécifique ? plurielle ? Le procès équitable permet-il d’affirmer une égalité des armes devant la justice ? Comment l’avocat peut-il construire des lignes de défense tout en restant partenaire de justice ? En définitive, est-il possible de comprendre l’acte même de défense des actes extrêmes, des crimes monstrueux, sans prendre conscience de la complexité d’une réflexion éthique ? Avocats, magistrats, policiers, journalistes, bâtonniers, et bien sûr tous ceux qui se destinent à ces professions, et puis encore les citoyens qui s’intéressent à la justice et les citoyens qui la découvrent en tant que jurés, tous ceux-là, pour des raisons très diverses tireront profit de la lecture de cet ouvrage. Edwige Rude-Antoine est directrice de recherche au CNRS (UMR 8039, CNRS-EHESS). Elle a publié de nombreux ouvrages. Parmi les plus récents, on peut citer Mariage Libre, Mariage forcé ? Paris, Puf, coll. La nature humaine, 2011, Éthique et famille, (co-dir.) M. Piévic, Paris, Éd. L’Harmattan, collection Éthique en contextes, 2011-2013, 3 tomes ; Un état des lieux de la recherche et de l’enseignement en éthique, (co-dir.) M. Piévic, Paris, Éd. L’Harmattan, collection Éthique en contextes, 2014. Voir aussi un article dans le Monde du 30 mars 2018. Articles de presse Les Cahiers de la Justice 2020/3 (N°3), pp. 565-570 Julien Ortin Les Cahiers de la Justice Les Cahiers de la Justice 2015/2 (N°2), pp. 301-304 Jean-Luc Rivoire Les Cahiers de la Justice Droit et Cultures 70 2015-2, pp. 185-190 Entretien avec Edwige Rude-Antoine mené par Christiane Besnier Droit et Cultures
27.55€
Un grand nombre de personnes soulignent aujourd’hui l’importance de la formation de la conscience éthique dans l’éducation ; et tous les éducateurs savent combien cet apprentissage est difficile. On pourrait dire l’inverse à propos de la formation esthétique : peu de personnes sont convaincues de sa nécessité, et beaucoup méconnaissent ses difficultés. Entre éthique et esthétique, les ponts ne sont pas faits. En ce qui concerne le théâtre, le vieux paradoxe de Diderot y a contribué : le talent du comédien c’est celui de la simulation, autrement dit, l’art du mensonge. Comment croire alors que le théâtre puisse développer le sens moral d’un enfant ? En réalité, la scène – comme toute véritable expérience artistique – n’interpelle pas d’abord l’enfant au niveau moral, mais au niveau ontologique : elle lui permet de vivre une expérience d’être en se donnant. « Le tout du comédien, c’est de se donner » aimait à dire Jacques Copeau. Le vrai paradoxe du théâtre est peut-être là : la scène n’est pas un lieu où l’on apprend à « faire semblant », mais un lieu de rencontre, où l’on découvre qui l’on est en prenant le risque de se donner tel que l’on est : « Moi je fais du théâtre pour communiquer avec le monde entier » écrit Clara, 10 ans. Elisabeth Toulet, fondatrice de l’Académie internationale de Théâtre pour enfants, nous fait partager, avec simplicité et enthousiasme, trente ans d’expérience auprès d’enfants de différents continents et de tous milieux sociaux, dans un livre qui passionnera tout autant les parents, les enseignants et les chercheurs de voies nouvelles dans l’éducation. Articles de presse Revue Quart Monde 236 2015/4 Rédaction de la Revue Quart Monde Revue Quart Monde Tweeter Edgar Morin @edgarmorinparis 2 décembre 2014 Tweeter Le troisième oeil #99, janvier 2015 Stéphanie Ayered Le troisième œil RCF Radio Antica Emission présentée par Katilu Jackson Extrait du livre La Beauté... RCF Radio La Vie N° 3634 du 23 avril 2015 Stéphanie Combe, 22 avril 2015 La Vie
20.9€
Les recherches et les enseignements dans le domaine de l’éthique se multiplient au sein des universités et grandes écoles. Sans doute en partie motivés par le bouleversement des repères moraux et la crise de sens qui affectent de nombreux secteurs de la société, ces travaux se développent dans de nombreuses disciplines – philosophie, sociologie, droit, économie, médecine – et des domaines les plus variées – environnement, affaires, technologie… Il semblait important de réunir en un premier volume des contributions actuelles, nationales et internationales, sur ce sujet afin d’illustrer à la fois la diversité et la transversalité des approches. Cet état de lieux, qui ne vise bien entendu pas à l’exhaustivité, est aussi une invitation à faire dialoguer les disciplines entre elles et avec la société, où les questions d’éthique émergent et où elles doivent trouver leur résolution. Rien ne serait en effet aussi préjudiciable à l’éthique donc à la société toute entière, qu’un cloisonnement disciplinaire et intellectuel qui risquerait de diluer l’éthique dans des visions particulières, de la déraciner de son ancrage universel qui, fondamentalement, questionne l’homme tant sur le sens de son action que sur la nature profonde de son humanité.
14.73€
Les travaux de recherche en éthique liés à l’évolution profonde que connaît la structure familiale ont donné lieu en mars 2011 à deux ouvrages, Éthique et Famille, tomes 1 et 2, aux éditions de l’Harmattan sous la direction d’Edwige Rude-Antoine et Marc Piévic. Ce troisième tome reprend pour partie des interventions données lors d’un colloque international qui s’est tenu à Paris à la même époque. Il évoque des enjeux éthiques concrets – tels ceux liés aux transformations juridiques de la famille, à la mise en œuvre de politiques publiques, à la prise en charge psychologique des enfants ou à l’annonce du diagnostic d’un cancer à un adolescent ou à un jeune adulte et sa famille – ou des réflexions plus théoriques autour d’une sociologie de l’éthique de la famille, du non choix de la parenté ou encore sur le caractère éventuellement injuste de l’institution familiale. Il vient compléter, sans toutefois visée d’exhaustivité, les thématiques abordées dans les deux premiers tomes : l’Éthique et la Famille, les Nouvelles formes familiales et les Rôles parentaux, la Vulnérabilité et la Responsabilité, l’Honneur, la Crainte, et la Violence, pour le premier volume, et les Enfants et les Droits, la Justice et le Droit, La Santé et la Bioéthique, la Solidarité et l’Économie, pour le second. Ces volumes veulent contribuer au renouvellement des théories et de la recherche en éthique de la famille et tenter de cerner des raisonnements moraux, ou ce qui en tient lieu, dans des contextes hétérogènes – raisonnements souvent enchevêtrés avec d’autres considérations normatives et factuelles. À terme, l’enjeu de cette réflexion est l’ouverture du débat moral à autre chose qu’une polarisation autour de positions de principes, et notamment à la complexité du raisonnement moral en contexte.
17.5€
Des intervenants oeuvrant dans des établissements qui offrent des services dans les domaines de la santé, des services sociaux et de la petite enfance peuvent-ils construire un savoir éthique, en s'appuyant sur des échanges portant sur des situations qui les interrogent ? Quelle expérience particulière peuvent-ils alors faire de l'éthique ? Quels en sont les avantages et les limites ? Quelles en sont les conditions de réussite ? Voilà les principales interrogations à l'origine de cet ouvrage, qui veut rendre compte du travail accompli par quelques chercheurs québecois qui ont accompagné pendant quelques années quatre groupe d'intervenants en pratique sociale. En s'inspirant de la démarche dialogique proposée dans cet ouvrage, les professionnels qui le désirent pourront continuer à la construction d'un savoir éthique, extrait de l'expérience du réel auquel ils se confrontent quotidiennement. Ils pourrons mieux dégager les enjeux éthiques en cause dans leurs pratiques pour en tirer quelques bénéfices, tant sur le plan du savoir-être que sur celui du savoir-faire. Avant de s'engager dans le type d'expérience ici décrite, et évaluée tant par les participants que par les chercheurs qui les ont accompagnés, ils seront à même d'apprécier les objectifs particuliers de la démarche dialogique qui l'anime, sans minimiser les écueils et les contraintes particulières auxquels toute tentative de dialogue doit faire face dans les pratiques sociales.
28€
Les évolutions profondes que connaît la structure familiale, qui sont liées, entre autres, aux progrès de la médecine (assistance médicale à la procréation, recul de l’âge du décès, etc.), à l’impact des nouvelles normes juridiques, aux mouvements de populations et aux interpénétrations culturelles, aux nouvelles technologies, à l’environnement, nécessitent de s’interroger sur l’évolution des représentations de la famille, de la nature des liens et des comportements en son sein, et sur les problématiques d’ordre éthique qui résultent de ces bouleversements. C’est l’objectif des ouvrages « Éthique et Famille », conçus à l’initiative du Centre de recherche Sens, Éthique, Société (CERSES – UMR 8137) Université Paris Descartes, CNRS et de la Fondation Ostad Elahi – éthique et solidarité humaine. Ces ouvrages rassemblent des contributions au croisement des disciplines des sciences humaines et sociales (éthique, anthropologie, psychologie, droit, économie, sociologie, philosophie, etc.) et des sciences du vivant, et à dimension internationale (Brésil, Canada, Côte d’Ivoire, France, Italie). Loin de prétendre à l’exhaustivité, ces volumes veulent seulement permettre le renouvellement des théories et de la recherche en éthique de la famille et tenter de cerner des raisonnements moraux, ou ce qui en tient lieu, dans des contextes hétérogènes – raisonnements souvent enchevêtrés avec d’autres considérations normatives et factuelles. À terme, l’enjeu de cette ré­flexion est l’ouverture du débat moral à autre chose qu’une polarisation autour de positions de principes, et notamment à la complexité du raisonnement moral en contexte. Ce second tome aborde plusieurs thématiques : les Enfants et les Droits, la Justice et le Droit, La Santé et la Bioéthique, la Solidarité et l’Économie.
24€
Les évolutions profondes que connaît la structure familiale, qui sont liées, entre autres, aux progrès de la médecine (assistance médicale à la procréation, recul de l’âge du décès, etc.), à l’impact des nouvelles normes juridiques, aux mouvements de populations et aux interpénétrations culturelles, aux nouvelles technologies, à l’environnement, nécessitent de s’interroger sur l’évolution des représentations de la famille, de la nature des liens et des comportements en son sein, et sur les problématiques d’ordre éthique qui résultent de ces bouleversements. C’est l’objectif des trois ouvrages « Éthique et Famille », conçus à l’initiative du Centre de recherche Sens, Éthique, Société (CERSES – UMR 8137), Université Paris Descartes, CNRS et de la Fondation Ostad Elahi – éthique et solidarité humaine. Ces ouvrages rassemblent des contributions au croisement des disciplines des sciences humaines et sociales (éthique, anthropologie, psychologie, droit, économie, sociologie, philosophie, etc.) et des sciences du vivant, et à dimension internationale (Brésil, Canada, Côte d’Ivoire, France, Italie). Loin de prétendre à l’exhaustivité, ces volumes veulent seulement permettre le renouvellement des théories et de la recherche en éthique de la famille et tenter de cerner des raisonnements moraux, ou ce qui en tient lieu, dans des contextes hétérogènes – raisonnements souvent enchevêtrés avec d’autres considérations normatives et factuelles. À terme, l’enjeu de cette ré­flexion est l’ouverture du débat moral à autre chose qu’une polarisation autour de positions de principes, et notamment à la complexité du raisonnement moral en contexte. Ce premier tome aborde plusieurs thématiques : l’Éthique et la Famille, les Nouvelles formes familiales et les Rôles parentaux, la Vulnérabilité et la Responsabilité, l’Honneur, la Crainte, et la Violence.
26€
Depuis le début du XXIe siècle, le développement durable a connu un engouement important dans la sphère publique et médiatique se répercutant par ricochet sur l’entreprise. L’analyse du développement durable en entreprise touche les différents départements de cette dernière. La prise en compte s’intègre notamment à la stratégie d’entreprise. C’est sur ce dernier point que l’ouvrage fait un état des lieux. Grâce aux contributions de chercheurs travaillant sur ce thème, cet ouvrage permet de vulgariser les dernières recherches et d’offrir à la communauté des chercheurs, des étudiants et des managers, un ensemble de résultats pratiques tirés de recherches appliquées. Les trois premiers chapitres adoptent une approche large montrant les freins, les manières de les dépasser, et les opportunités liées au développement durable. Les deux suivants s’attachent plus particulièrement aux innovations liées au développement durable. Deux autres l’abordent dans des contextes spécifiques, les PME et les multinationales. Le dernier s’interroge enfin sur son rapport à l’éthique et notamment à l’éthique de la recherche.
17€
Chartes et labels éthiques ou solidaires, codes déontologiques, programmes de développement durable : l’exigence éthique fait désormais partie intégrante de l’image publique de l’entreprise. N’en déplaise aux cyniques ou aux apôtres de la « guerre économique », le monde des affaires ne saurait jouir d’un statut d’extraterritorialité. Il est important d’affirmer, au moins en principe, cette responsabilité face à la société. Elle passe par la prise en compte de l’intérêt général et du bien commun. Mais au-delà de l’affichage des normes collectives, au-delà des généreuses déclarations d’intentions, il est tout aussi important de se demander ce qu’il en est de l’éthique en entreprise, envisagée cette fois-ci du point de vue des acteurs qui en sont partie prenante. Quelle forme prend, pour chacun, l’éthique vécue dans le contexte professionnel, l’éthique qui se fait au quotidien, dans la pratique concrète des relations humaines ? Quels sont les ressorts de cette sensibilité collective qu’on appelle parfois, sans trop savoir s’il s’agit d’un code d’honneur ou d’une véritable ligne morale, l’« esprit d’entreprise » ? La solidarité y trouve-t-elle un sens nouveau, ou ne subsiste-t-elle qu’à la manière d’une exigence d’efficacité ajustée aux rudes lois du monde économique ? Cet ouvrage se propose d’explorer ces questions en les parcourant dans les deux sens : de l’individu au collectif, et du collectif à l’individu, sans perdre de vue les interactions complexes de ces deux niveaux avec l’environnement humain et social qui constitue le milieu naturel de l’entreprise.
14.5€

Dans le cadre du cycle « Pour une culture partagée du développement durable » de l’Institut de formation de l’environnement (IFORE *), la question de l’éthique appliquée au développement durable a été approfondie.

Les interventions et débats de la journée ont permis à plusieurs experts, sociologues et philosophes, de rappeler les significations réelles de ces deux notions et leurs implications, en tentant, non pas de trouver des réponses fermes aux paradoxes du développement durable, mais de questionner les moyens de mise en oeuvre aussi bien que le concept lui même.

Cette journée a permis d’illustrer les difficultés des jeux d’acteurs, la rigueur de leurs rouages à travers de nombreux témoignages de parties prenantes – groupes financiers, ONG, entreprises, médias, institutions… développant avec discernement des pistes de solution prometteuses. Les questions d’échelles de décisions ont aussi été abordées : de l’action citoyenne à la gouvernance du monde, l’éthique appliquée pourrait être une grille de lecture nouvelle, permettant à bien des égards de sortir nos sociétés de la schizophrénie engendrée par les défis du siècle à venir.

* L’IFORE, organisme de formation du Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement Durable et de la Mer (MEEDDM), a pour mission d’accompagner par la formation l’intégration du développement durable dans les politiques et l’action publiques.

11.5€
Si la crise financière et économique qui a débuté en 2008 a suscité une pléthore d’analyses, peu d’entre elles ont abordé sa dimension éthique. Qui plus est, lorsque celle-ci est évoquée, c’est essentiellement sous l’angle des injustices liées aux jeux d’intérêts particuliers, tels les salaires des patrons ou ceux des traders. Or, les questions éthiques touchant à la crise débordent largement ce cadre et pointent vers des enjeux sans doute plus fondamentaux, peut-être dissimulés derrière la décourageante technicité des pratiques financières. Si les considérations éthiques ont leur place dans ces matières, quelle efficacité peut-on leur donner, au-delà de la mise en oeuvre de mécanismes de sanction ou de protection ? Des mécanismes de régulation appropriés pourraient-ils jouer le rôle de garants éthiques ? De quels moyens dispose-t-on pour encourager une compréhension plus juste et une pratique plus solidaire de l’économie ? Il était nécessaire de défricher ce champ. C’est pourquoi des acteurs de plusieurs disciplines – économiste, industriel, banquier et membre de l’AMF, journaliste, syndicaliste, actuaire – se sont réunis en février 2009 au CNAM dans l’objectif d’analyser d’une part, les enjeux éthiques émergeant à partir des symptômes de la crise, et d’autre part, de s’interroger sur le sens et les perspectives que pourrait avoir « une éthique de la finance ». Un éclairage particulier a été mis sur le rôle crucial des modèles mathématiques sous jacents aux processus qui guident les échanges financiers et leurs possibles dérives.
14€
La musique, dit-on, adoucit les mœurs. Mais au-delà de ses vertus apaisantes ou édifiantes, c’est l’activité musicale en tant que telle qui ne cesse de susciter des évaluations et des questions de nature éthique. Et cela est encore plus sensible dans un contexte interculturel où la musique est souvent celle des « autres ». Philosophes, psychanalystes, musicologues, sociologues ou musicothérapeutes s’accordent à le reconnaître : il existe un processus de subjectivation indissociablement éthique et musical, qui renvoie tout à la fois à la culture de soi, à la formation du caractère, au développement des dispositions spirituelles de l’individu, et aux représentations, aux formes d’expression et aux valeurs collectives d’une culture ou d’un groupe. Ainsi le phénomène musical met en jeu les questions de l’authenticité, de la communauté, de la relation à l’autre, ou encore du rapport entre éthique et morale. Articles de presse L'éducation musicale Patrice Imbaud, février 2009 L'éducation musicale Cahiers d'ethnomusicologie Monique Desroches, 10 décembre 2012 journals.openedition.org
28.5€
La question du consensus est on ne peut plus actuelle. Elle est au centre de la réflexion éthique et politique contemporaine, marquée par les exigences de la discussion intersubjective et du débat démocratique. Le consensus se présente à la fois comme dynamique de délibération et comme critère de justification des décisions. Les praticiens de l’éthique clinique et de l’éthique de la recherche qui agissent au sein de comités institutionnels ou nationaux, pratiquent la décision consensuelle, y voyant une assurance sinon au plan de la valeur de la décision, du moins au plan de la procédure. Dans une perspective plus large, l’argument du consensus est souvent invoqué par les décideurs politiques pour légitimer des décisions dont le caractère démocratique reste à démontrer. Quels peuvent être les critères pour juger de la valeur d’un consensus, tant au niveau institutionnel que sociétal ? À quelles conditions le désaccord doit-il être possible et préservé ? La procédure peut-elle à elle seule prémunir les participants à la discussion contre les jeux de pouvoir et d’intérêts ? Ces questions sont examinées ici. Cet ouvrage est le premier en langue française à traiter de l’ensemble des dimensions du recours au consensus en éthique. Il s’adresse autant au praticien de l’éthique soucieux de réfléchir sur son expérience de délibération en vue du consensus, qu’au théoricien intéressé à aborder les questions plus abstraites sous l’angle des pratiques professionnelles et institutionnelles. Articles de presse Centre de ressources en soins infirmiers Marcelle Monette, 11 décembre 2007 Centre de ressources en soins infirmiers
17.5€
L’acte éducatif ne se réduit pas à un simple transfert de connaissances : il implique tout un apprentissage des valeurs, il est le lieu d’une sensibilisation aux enjeux éthiques de l’être-ensemble. Mais s’il existe, au cœur de l’idée de l’École que nous sommes prêts à défendre aujourd’hui, quelque chose comme une exigence éthique, à qui s’adresse-t-elle ? A des citoyens ? à des enfants ? à des « jeunes » et parfois à des « jeunes adultes » ? Et comment intégrer, par ailleurs, le fait massif de l’hétérogénéité sociale et culturelle des publics scolaires ? Comment prendre en compte la désaffection d’une part grandissante de ces publics pour l’École ? Qu’en est-il, finalement, du désir d’apprendre, et d’enseigner ? <p Divers acteurs du domaine éducatif se penchent sur ce problème : ils sont enseignants, proviseurs, inspecteurs, cadres de l’Éducation nationale ou de structures européennes. Un pédiatre et une philosophe les rejoignent pour prolonger la discussion.
25.5€
Alors que la demande sociale autour des questions d’éthique se fait aujourd’hui fortement entendre, sur le continent européen comme ailleurs, cela fait plusieurs décennies que des chercheurs, souvent professeurs d’Université, s’y sont intéressés dans le contexte québécois. Leur objectif était de mieux comprendre cette demande afin de pouvoir y répondre, le souci d’intervention demeurant central dans leur réflexion. Cet ouvrage veut présenter l’œuvre d’un petit nombre d’entre eux, jugé représentatif. Le travail d’analyse y serre de près leurs textes et peut très bien servir de premier accès à des publications souvent peu disponibles, dispersées dans des revues ou chez des éditeurs divers. En particulier, nous examinons les lexiques utilisés par chacun, et des entretiens nous font découvrir davantage le sens de leurs discours. Nous avons regroupé autour de trois pôles géographiques des recherches qui ont bien sûr débordé ces lieux : approche marquée par le questionnement sociologique à Rimouski, par la bioéthique à Montréal (mais aussi à Québec) et approche marquée par le dialogue et l’intervention à Sherbrooke. Disons-le aussi tout de suite : parler d’école ne veut pas dire qu’une pensée dogmatique serait partagée par chacun des membres, car d’importantes différences subsistent entre eux. Les regroupements permettent simplement un premier repérage. Chez tous les auteurs, on saisira cependant combien la prise en compte des questions de terrain va de pair avec la théorisation, qui non seulement accompagne la pratique mais en découle.
13€

Comme toutes les « nouvelles technologies », les TIC (« technologies de l’information et de la communication ») sont une promesse et un risque : elles peuvent susciter la fascination et l’angoisse. Mais elles peuvent aussi nous conduire à formuler de façon neuve quelques questions éthiques, en tenant compte de la spécificité de leurs dispositifs et de leurs usages. Ainsi la question de la solidarité humaine. Que devient-elle à l’âge du Réseau, ou des réseaux ? Comment entrer de manière solidaire dans cette société de l’information célébrée par les technophiles, redoutée par les technophobes ?

Spécialistes des technologies d’information et de communication, sociologues, philosophes, psychologues, juristes et politologues se demandent ici ce qu’il en est de l’accès au réseau Internet et à ses contenus, des formes subtiles d’exclusion qu’il engendre (« fracture numérique »), des replis identitaires et des dérives mercantiles qu’il encourage. Ils examinent aussi les projets constructifs qui peuvent se formuler dans les domaines de l’éducation, du développement local, du partage du capital immatériel et de la diffusion du savoir. Ils nous apprennent qu’en matière d’éthique il n’y a pas de déterminisme technologique : la valeur humaine du réseau numérique dépendra, ultimement, de la manière dont nous saurons en user pour inventer de nouvelles figures de la solidarité.

13.5€
L’éthique en entreprise n’est pas une affaire nouvelle. Codes déontologiques, programmes de développement durable, « labels éthiques », et autres chartes de qualité ou de respect de l’environnement sont devenus monnaie courante : ces dispositifs font désormais partie de toute « culture d’entreprise » qui se respecte. On peut s’interroger sur leur fonction, sur leur efficacité réelle. Certes, ce n’est pas en multipliant les « chartes à la crème » qu’on pourra remédier au malaise qui mine la vie d’une entreprise. Mais les effets d’annonce et les grands principes valent toujours mieux que le cynisme. Quant à savoir ce que chacun est disposé à en faire pour son compte, en fonction de ses propres valeurs et convictions, c’est une autre affaire. Là commence la difficile négociation de l’individuel et du collectif. L’éthique entrepreneuriale est-t-elle à même d’intégrer le facteur de l’éthique individuelle, le « management de soi » ? Et qu’a-t-elle à y gagner ? C’est le problème sur lequel se penchent les auteurs de ce livre. Spécialistes de l’éthique des affaires, philosophes, cadres d’entreprise, consultants, ils s’interrogent à partir de situations concrètes, sans perdre de vue les enjeux généraux qui font de l’éthique individuelle un nouveau défi pour l’entreprise.
24.4€
Ce livre se présente comme un guide de formation en éthique à l’intention des personnes engagées dans des organismes offrant des services de santé et des services sociaux, plus particulièrement auprès des personnes présentant une déficience intellectuelle. Il a été rédigé par des universitaires en étroite collaboration avec des milieux de pratiques afin de dégager les principaux problèmes d’ordre éthique que l’on y rencontre. L’ouvrage propose une démarche de type dialogique, visant à développer la réflexion et le souci éthiques dans les pratiques d’intervention, de soutien clinique et de gestion. Le programme de formation qu’on y retrouve se déplie en six modules poursuivant des objectifs particuliers. On y aborde les thèmes suivants: les liens entre la morale, la déontologie et l’éthique, les enjeux éthiques soulevés par la complexité des pratiques en déficience intellectuelle, la responsabilité partagée et ses exigences éthiques. On y propose également une méthode d’analyse des problèmes éthiques rencontrés dans la pratique et quelques suggestions pour soutenir le développement du souci éthique dans les organisations. S’adressant à des professionnels, conseillers cliniques et gestionnaires, sensibilisés à l’importance de l’éthique et à son aspect incontournable, cet ouvrage leur permet de construire un savoir éthique articulant la théorie à la pratique, dans la résolution des problèmes complexes qu’ils rencontrent au quotidien. Articles de presse </p Le Journal du Sida, n° 179, septembre-octobre 2005 Vulu, Dernières parutions p.33 journaldusida.org
19.5€
Une École plus éthique ? Qui s’en plaindrait ? Mais c’est ici que les problèmes commencent. L’accord sur le mot ne reflète aucun consensus concernant les moyens et la finalité de l’apprentissage de l’éthique. L’éthique à l’École, c’est un problème avant d’être une solution. Certains y voient un mécanisme de régulation sociale, un recours efficace dans la gestion quotidienne des manquements aux règles de la communauté scolaire. Pour d’autres, c’est un enjeu de développement individuel, participant aux vocations premières de l’École : instruire et éduquer. Mais s’agit-il de former d’abord des citoyens ou des hommes ? D’inculquer des conduites – celles que réclame le bon fonctionnement de l’institution –, ou de transmettre des valeurs et de donner l’exemple, si une telle chose a encore un sens ? Si la gestion des incivilités ne peut servir de substitut à l’apprentissage de la morale, il reste à définir les modalités d’une éducation éthique, et pourquoi pas la forme et les contenus d’un véritable enseignement de l’éthique. À qui revient cette tâche ? Les acteurs de l’institution scolaire sauront-ils redéfinir en commun des modèles efficaces d’action et de comportement éthiques ? Cet ouvrage relève le défi et ouvre le débat. Il brosse un tableau de la situation, met à plat les enjeux de principe, afin de formuler des propositions concrètes. Les auteurs sont tous proches d’une expérience de terrain, dans divers secteurs institutionnels. Ils ou elles sont inspecteurs généraux de l’Education nationale, professeurs des collèges et des lycées, personnels d’encadrement, chefs d’établissement ou conseillers d’éducation, formateurs, directeurs d’établissement sous tutelle, membres de commissions européennes ou présidents de collectivités territoriales, mais aussi philosophes, juristes, psychosociologues, spécialistes des sciences de l’éducation.
21.8€

Ce livre est le résultat d’une recherche qualitative menée auprès de praticiens et de praticiennes qui interviennent auprès de la famille, principalement dans des Centres jeunesse et des Centres locaux de services communautaires du Québec, comme travailleurs sociaux, psychologues, éducateurs, etc. L’objectif visé consistait en l’identification des principaux enjeux éthiques auxquels la pratique d’intervention confronte ces personnes. À partir des discours des intervenants, l’équipe de recherche a construit cet outil de réflexion éthique. Il peut par ailleurs être fort utile dans le cadre de la formation des intervenants professionnels et sociaux, pour problématiser la pratique clinique.

L’ouvrage est divisé en quatre parties. Une première rend compte de la façon dont les intervenants conçoivent leur travail auprès des familles, particulièrement en contexte légal ; dans une deuxième partie, les auteurs traitent des principales représentations des familles telles qu’elles sont véhiculées par les intervenants; une troisième est consacrée à l’univers axiologique de ces derniers et des conflits de valeur qui peuvent surgir dans leurs pratiques ; enfin, la dernière partie traite du passage d’une pratique portée par un idéal de départ vers une pratique « réfléchie », c’est-à-dire où cet idéal est revu en fonction d’un savoir construit au sein de l’expérience.

Cet ouvrage se veut un outil pragmatique, permettant à toute personne intervenant auprès des familles d’ouvrir ou de poursuivre une réflexion éthique sur sa pratique. On y trouvera, outre des études de discours et de situations, des propositions concrètes d'ateliers de travail permettant d'approfondir les enjeux éthiques dégagés par l'analyse.

Les questions liées à la recherche et à l’enseignement en éthique constituent un vaste chantier qui doit être régulièrement réévalué. Dans ce second tome d’un état des lieux de la recherche et de l’enseignement en éthique, sont abordées un certain nombre de questions qui se posent dans le management,  >>> en savoir plus
Auteur(s): Edwige Rude-Antoine, Marc Pievic
19.50€
La révision imminente de la loi bioéthique ouvre un moment où tout est possible. Écrit par un juriste universitaire spécialisé dans les questions médicales et impliqué dans la pratique quasi quotidienne de l’éthique clinique depuis des années, cet essai éclaire l'urgence éthique qu'imposent cert  >>> en savoir plus
Auteur(s): Denis Berthiau
23€
Qui est l’homme alcoolique ? Il est à « coeur ouvert », un déraciné qui possède en lui la porte qui s’ouvre à ce Monde fraternel et absolu où seuls des êtres animés par le « goût de l’être » et l’« amour » peuvent pénétrer. Dans cet essai écrit à la première personne, l’auteur introduit s  >>> en savoir plus
Auteur(s): Erick Jean-Daniel Singaïny
13€
« Comment faites-vous pour défendre l’assassin d’un enfant ? » C’est souvent cette question que les avocats pénalistes entendent à propos de leur métier. L’avocat est représenté dans la fiction sous les traits d’un être ambigu, sans cesse sur le fil… La réalité est sans doute tout autre. C’est  >>> en savoir plus
Auteur(s): par Edwige Rude-Antoine - Préface de J. Danet
19.95€
Un grand nombre de personnes soulignent aujourd’hui l’importance de la formation de la conscience éthique dans l’éducation ; et tous les éducateurs savent combien cet apprentissage est difficile. On pourrait dire l’inverse à propos de la formation esthétique : peu de personnes sont convaincues de sa néces  >>> en savoir plus
Auteur(s): par Elisabeth Toulet
27.55€
Les recherches et les enseignements dans le domaine de l’éthique se multiplient au sein des universités et grandes écoles. Sans doute en partie motivés par le bouleversement des repères moraux et la crise de sens qui affectent de nombreux secteurs de la société, ces travaux se développent dans de nombreuses d  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Edwige Rude-Antoine et Marc Piévic.
20.9€
Les travaux de recherche en éthique liés à l’évolution profonde que connaît la structure familiale ont donné lieu en mars 2011 à deux ouvrages, Éthique et Famille, tomes 1 et 2, aux éditions de l’Harmattan sous la direction d’Edwige Rude-Antoine et Marc Piévic. Ce troisième tome reprend pour partie des  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Edwige Rude-Antoine et Marc Piévic.
14.73€
Des intervenants oeuvrant dans des établissements qui offrent des services dans les domaines de la santé, des services sociaux et de la petite enfance peuvent-ils construire un savoir éthique, en s'appuyant sur des échanges portant sur des situations qui les interrogent ? Quelle expérience particulière peuve  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Luciano Barin Cruz, Quentin Bruand, Hela Chebbi, Wafi Chtourou, Emmanuelle Dontenwill, Hélène Fallourd, Muhammad-Omer Farooq, Caroline Gauthier, Thi Nam Giang Phan, Thanh Hien Ha-Vu, Magalie Marais, Annelise Mathieu, Julie Mercier, Caroline J. Ney, Emmanuelle Reynaud, Koulani Rezaire, Renaud Troussel.
17.5€
Les évolutions profondes que connaît la structure familiale, qui sont liées, entre autres, aux progrès de la médecine (assistance médicale à la procréation, recul de l’âge du décès, etc.), à l’impact des nouvelles normes juridiques, aux mouvements de populations et aux interpénétrations culturelles, a  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Edwige Rude-Antoine et Marc Piévic.
28€
Les évolutions profondes que connaît la structure familiale, qui sont liées, entre autres, aux progrès de la médecine (assistance médicale à la procréation, recul de l’âge du décès, etc.), à l’impact des nouvelles normes juridiques, aux mouvements de populations et aux interpénétrations culturelles, a  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Edwige Rude-Antoine et Marc Piévic.
24€
Depuis le début du XXIe siècle, le développement durable a connu un engouement important dans la sphère publique et médiatique se répercutant par ricochet sur l’entreprise. L’analyse du développement durable en entreprise touche les différents départements de cette dernière. La prise en compte s’intègr  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Luciano Barin Cruz, Quentin Bruand, Hela Chebbi, Wafi Chtourou, Emmanuelle Dontenwill, Hélène Fallourd, Muhammad-Omer Farooq, Caroline Gauthier, Thi Nam Giang Phan, Thanh Hien Ha-Vu, Magalie Marais, Annelise Mathieu, Julie Mercier, Caroline J. Ney, Emmanuelle Reynaud, Koulani Rezaire, Renaud Troussel.
26€
Chartes et labels éthiques ou solidaires, codes déontologiques, programmes de développement durable : l’exigence éthique fait désormais partie intégrante de l’image publique de l’entreprise. N’en déplaise aux cyniques ou aux apôtres de la « guerre économique », le monde des affaires ne saurait jouir  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Alain Anquetil, Michel Bon, Fabienne Cardot, Jean-François Connan, Loréa Hirèche-Baïada, Thierry Hommel, Jean-Jacques Nillès, Serge Orru, Bernard Saincy.
17€
Dans le cadre du cycle « Pour une culture partagée du développement durable » de l’Institut de formation de l’environnement (IFORE *), la question de l’éthique appliquée au développement durable a été approfondie. Les interventions et débats de la journée ont permis à plusieurs experts, sociologu  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Michèle Pappalardo, Pascal Ponsart-Ponsart, Sylvain Allemand, Dominique de Courcelles, Alain Létourneau, Joëlle Brohier, Pierre Cadet, Stéphane Comar, Patrick Gaudray, Dominique Bourg, Béatrice Jalenques-Vigouroux, Elisabeth Laville, Philippe Marzolf, Serge Orru, Pierre Valentin, Patrick Vivere, Claude Revel, Alain Touraine
14.5€
Si la crise financière et économique qui a débuté en 2008 a suscité une pléthore d’analyses, peu d’entre elles ont abordé sa dimension éthique. Qui plus est, lorsque celle-ci est évoquée, c’est essentiellement sous l’angle des injustices liées aux jeux d’intérêts particuliers, tels les salaires d  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Agnès Bénassy-Quéré, Dominique Lamoureux, Bernard Esambert, Jean-Francis Pécresse, Jean-Christophe Le Duigou, Christian Walter.
11.5€
La musique, dit-on, adoucit les mœurs. Mais au-delà de ses vertus apaisantes ou édifiantes, c’est l’activité musicale en tant que telle qui ne cesse de susciter des évaluations et des questions de nature éthique. Et cela est encore plus sensible dans un contexte interculturel où la musique est souvent celle  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Jean During et avec des contributions de Laurent Aubert, Alain Didier-Weil, Jean During, Georges Goormartigh, Edith Lecourt, François Picard, Pierre Sauvanet, Bernard Stiegler et Jacques Viret.
14€
La question du consensus est on ne peut plus actuelle. Elle est au centre de la réflexion éthique et politique contemporaine, marquée par les exigences de la discussion intersubjective et du débat démocratique. Le consensus se présente à la fois comme dynamique de délibération et comme critère de justificatio  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Alain Letourneau et Bruno Leclerc – Avec la collaboration de Allen Le Blanc
28.5€
L’acte éducatif ne se réduit pas à un simple transfert de connaissances : il implique tout un apprentissage des valeurs, il est le lieu d’une sensibilisation aux enjeux éthiques de l’être-ensemble. Mais s’il existe, au cœur de l’idée de l’École que nous sommes prêts à défendre aujourd’hui, quel  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Michel Assémat, Gilbert Azoulay, Françoise Boissou, Bernard Bourgeois, Haïm Cohen, Jean-François Connan, Maria Kostova, Martine Méheut, André de Peretti, Marie-Claire Restoux-Gasset, Juan Salame Sala, Barbara Stiegler.
17.5€
Alors que la demande sociale autour des questions d’éthique se fait aujourd’hui fortement entendre, sur le continent européen comme ailleurs, cela fait plusieurs décennies que des chercheurs, souvent professeurs d’Université, s’y sont intéressés dans le contexte québécois. Leur objectif était de mieux  >>> en savoir plus
Auteur(s): Alain Létourneau. Avec la collaboration de Francis Moreault.
25.5€
Comme toutes les « nouvelles technologies », les TIC (« technologies de l’information et de la communication ») sont une promesse et un risque : elles peuvent susciter la fascination et l’angoisse. Mais elles peuvent aussi nous conduire à formuler de façon neuve quelques questions éthiques, en tenant compte  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Philippe Breton, Claude Henry, Hervé Le Crosnier, Paul Mathias, Sylvain Missonnier, Pierre Pérez, Valérie Peugeot, Paul Soriano. Préface de Pierre Musso
13€
L’éthique en entreprise n’est pas une affaire nouvelle. Codes déontologiques, programmes de développement durable, « labels éthiques », et autres chartes de qualité ou de respect de l’environnement sont devenus monnaie courante : ces dispositifs font désormais partie de toute « culture d’entreprise »  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Alain Ballot, Laurent Bibard, Christian Ganem, Geneviève Even-Granboulan, Marc Grassin
13.5€
Ce livre se présente comme un guide de formation en éthique à l’intention des personnes engagées dans des organismes offrant des services de santé et des services sociaux, plus particulièrement auprès des personnes présentant une déficience intellectuelle. Il a été rédigé par des universitaires en étroi  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Pierre Fortin et Pierre-Paul Parent
24.4€
Une École plus éthique ? Qui s’en plaindrait ? Mais c’est ici que les problèmes commencent. L’accord sur le mot ne reflète aucun consensus concernant les moyens et la finalité de l’apprentissage de l’éthique. L’éthique à l’École, c’est un problème avant d’être une solution. Certains y voien  >>> en savoir plus
Auteur(s): Avec des contributions de Bernard Bourgeois, Jacqueline Costa-Lascoux, Bahram Elahi, Jean Houssaye, Blandine Kriegel, Claude Mollard, Élisabeth Morin, Dominique Ottavi, Aline Peignault, Jean-Charles Pettier, Reine-Marie Saugey, Lydie Villemard, James Wimberley et Laurent Wirth
19.5€
Ce livre est le résultat d’une recherche qualitative menée auprès de praticiens et de praticiennes qui interviennent auprès de la famille, principalement dans des Centres jeunesse et des Centres locaux de services communautaires du Québec, comme travailleurs sociaux, psychologues, éducateurs, etc. L’objectif  >>> en savoir plus
Auteur(s): Sous la direction de Pierre-Paul Parent – avec des contributions de Bruno Bouliane, Marie Beaulieu, Monique Dumais
21.8€